La main qui danse vaut mieux qu’un corps qui pleure et les étoiles ne savent rien de nos malheurs.
La vie parfois s’installe où l’on n’est plus.
Francis Royo, Arrache-corps
Dehors c’est l’incohérence météorologique. Je corne une page : J’ai l’âme Téfal, encéphalogramme plat. Dans l’écran, c’est des mantes de couleur : arbres en pixels bruns et verts qui se déforment comme dans Unlucky Young Men une scène d’assassinat sous psychotropes : ça déforme le cadre de la page et des formes et (…)