C’est un élan irrépressible vers la mer. Une mer, une île, un océan, je sais pas, mais un flux des marées faisant ça dans un sens et dans l’autre et puis toujours recommençant. J’ai tout oublié d’autre que ça. Ça et, quelque part, j’étais sur un trottoir à suivre une femme qui marchait devant moi, de dos pour moi, de face pour elle. Un arbre tombé sur l’abri de vélo bloque la porte. Pas de vélo donc. Mais il pleut. Et je ne vais nulle part. Sauf là où l’on me dit qu’il s’y passe quelque (...)