Julio José Ordovás



  • 220816

    22 septembre 2016

    Boys don’t cry s’appelle finalement Blond. Avec ou sans le e ? Je l’écoute, c’est de l’eau. Limpide peut-être mais je suis trop sous influence chimique pour l’entendre couler maintenant. L’un des problèmes du Laroxyl, c’est aussi mais qu’il te tue tes rêves. L’anticorps, de Julio José Ordovás. Très sec. Épuré. Épais de ce qu’il n’y a plus. Sans singularité de prime abord puis tendre et arrogant. Par exemple quand il dit, Maintenant, je me rends compte que ma tante avait l’étoffe d’un personnage biblique, pas comme mon père ou moi, qui étions des personnages de dessins animés. Mais aucune fuite adolescente car le narrateur tout du long s’y refuse.