jusques à quand va-t-on encore tolérer notre absence personne ne remarque comme nous sommes remplis de noir comme nous sommes retranchés en nous-mêmes dans ce noir
Wolfgang Hilbig, Absence, traduction Bernard Banoun
C’est encore dans La mer gelée. Zéro rêve. Quinze ans que. Gris, gris, particulièrement gris. Plein de films qu’il faudrait voir (au moins faudrait-il les voir pour savoir s’ils valent la peine d’être vus). Franz, Nocturama, Comancheria. D’autres j’ai oublié leur nom. Les (...)