Hadouk Trio



  • 221016

    30 novembre 2016

    Une forme de haine et étanche à l’endroit de ce mec qui souffle les feuilles. On ne sait pas où il est, où il va. Making of a cyborg. J’étais dans les ascenseurs de la BNF, au sortir d’un diner (tout le monde en était à diviser des sommes interminables pour savoir quoi payer), à sortir un chien à la pisse verte de l’une de mes autres poches. Dans un sac à dos l’animal. Relis la nouvelle (ou plutôt la chanson) éponyme de Sombres aux abords. Modèle du genre. Depuis les abords, jeté dans le sombre, j’observe la lueur de la ville, ses lumières et l’orange qui se propage et voile vos étoiles, dans la nuit comme chez moi, je suis sombre et sombre la nuit, tendre. Deux pages plus loin : Les abords de la ville commencent où finit l’éclairage installé pour vous sécuriser, nous sommes la forêt sans les arbres, ce que vos enfants doivent à tout prix contourner, car là sombrent les ténèbres, les loups noirs, les Arabes et les ogres. <span id="v2_vivre"> <span id="v9_heroine"> Ce genre de trucs. Livre onze, chapitre cinq : [il] se glissa dans l’escalier faiblement éclairé par une lanterne chinoise, et aperçut, descendant l’escalier, un homme dans lequel, après s’être approché, il reconnut son frère. 1). Lomsha Il existe un hashtag #RépublicainFragile. Ça pourrait être drôle.


  • ↑ 1 En traduction canonique cela donne quelque chose de beaucoup plus simple, sans le souffle, sans la hachure : Dans l’escalier, faiblement éclairé par une lanterne chinoise, il croisa un homme en qui il reconnut son frère.