fuir est une pulsion
Aujourd’hui je mange dans des bols (trois). Je fais ce que font les machines. Je prends une épluchure de carotte (…)
Dans le train juste avant départ, retour Paris dans la brume, le wagon quasi vide et pourtant l’ombre d’un corps (…)
En vérité, le secret, c’est de s’abandonner. Camille Ruiz : les choses se transforment, et plus nous insistons et (…)
J’ai pas faim (c’est pas l’heure d’avoir faim). La chaleur est tombée dans des rêves de Lovecraft. C’est flippant. (…)
Ar Talamon est presque niveau 11. Au niveau 20, il aura le droit d’acheter un chocobo à lui et de le monter quand ça (…)
On a nos forfaits phone illimités, l’internet, la télé, les transports souterrains, la musique, le ciné ; un jour (…)
Recopié les 822 mots d’Eff écrits hier à la main. Et 578 mots aujourd’hui. Trouvé sur Youtube les captations vidéo (…)
Le potentiel érotique du deuxième générique de fin d’Utena est dingue, tout en images fixes, ou quasi, alors tout (…)
La phrase « Je n’ai pas fait exprès de manger toutes ces carottes. » à une forte amplitude narrative, je trouve. (…)
Aujourd’hui je remets le chauffage dans la chambre. Je vois d’un bon œil l’arrivée prochaine de la Freewrite (…)
Tout du long des questions sans réponse du genre y a-t-il beaucoup de virgules dans Ulysse si oui combien ? En fait (…)
Relu les trois textes envisagés pour la lecture des vases communicants, jeudi, bibliothèque Faidherbe. Les trois ont (…)
c’est que là, à Wall Street, il n’y a ni fer ni tissu ni pétrole ni charbon il n’y a rien et pourtant tout est là (…)
Rêve d’un bon gros lapin, mort depuis huit ans. Il fallait le mettre dans une baignoire pleine d’eau, pour qu’il (…)
Je ne supporte plus d’être en retard. C’est venu d’un coup. Sans doute est-ce ça qui pèse sur mes cervicales ? Le (…)
Je pense à m’exiler ailleurs (où je ne sais pas encore, quoi que des mots se forment parfois dans mon esprit, je les (…)
Je suis moi-même toute pleine de préconçus par rapport à l’adolescence, je me fais une idée, de la manière dont on (…)
J’ouvre un email daté d’hier aujourd’hui qui me dit : attention, la dead line est demain. Quelle est la pire chose (…)
Toujours après une période au cours de laquelle je coupe, pour une raison X ou Y, consciente ou pas d’ailleurs, les (…)
Dans les rues de Schwabing, l’été, défilent des hordes de beatniks voyageurs aux vêtements somptueux. J’ai rencontré (…)
Un shoot bout portant dans la tête vaut cent points. Entre les deux yeux vingt points de bonus. Dans la bouche (…)
Les poires se fossilisent. Il faut manger entre les pierres. Les Conférence, c’est trop sucré (9g pour 100 mais à (…)
Monolithe Éditeur, suite. Les livres donc sont noirs, sans titre ni nom d’auteur ni dos ni quatrième de couverture (…)
…déçu de ne fonctionner qu'assujetti au quotidien, aimerais ce monde le traverser, être un aventurier, en sortir, (…)
Donc pour résumer, afin de pouvoir accéder à un contenu vidéo via une plateforme à laquelle je suis abonné, ladite (…)
Il y a dans l’écriture une telle énergie du désespoir. Former une phrase, et quand bien même on arrive bien jusqu’à (…)
Il y a des gens à côté de qui j’apprécie peu de passer une à deux heures de temps dans un train. Malheureusement, le (…)
Les contrôles à la douane se font à la pesée. Si tu pèses plus que ton poids d’entrée, on secoue tes vêtements de (…)
La Loire est basse. Les oies sont grasses. Passé 15h, l’hivère lumière est okée.
Pirate and Osbie Feel are leaning on their roof-ledge, a magnificent sunset across and up the winding river, the (…)
Vie grise. Toute la journée durant écumer les cinquante-quatre pages d’un xls et dans la tête le cœur une seule (…)
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Je connais cette chanson. Et toi par cœur. Je connais tout mais sans les mots. Les mots, ceux qui reviennent (…)
Une fois le sel collé sur ta peau, t’aimais bien le laisser sécher jusqu’à ce que ça fasse une croûte. Tu te (…)
Je regarde par la fenêtre la rue et ce n’est pas ma rue. Calmons-nous, la rue n’appartient à personne, ou plutôt le (…)
Bara no hanayome (en français : la fiancée de la rose) est une série animée japonaise de 48 épisodes réalisée au (…)
Si les meilleures idées viennent sous la douche, qu’on ne s’étonne pas que les capybaras fassent partie des espèces (…)
C’est le tout ou rien nuagique : un beau ciel bleu d’hiver où rien ne fait obstacle à la beauté, puis son contraire (…)
Si on écoute bien, dit Morton Feldman 21, la plupart des flûtistes jouent faux. Bien sûr, si vous écoutez pendant (…)
Je l’ai déjà fait une fois, c’était Coup de tête, prendre des bouts de phrase issue d’un film, La quatrième guerre (…)
Ça y est t’en es à cracher de la fumée de merde dans l’humeur de la rue d’Aubrac en écoutant à fond ce machin, (…)
Celsius : moins deux moins trois. Les gorges condensées la bouche. Le sec.
Tout le jour dans la tête la Nocturne (…)
Photo François Bon
J’étais présent hier à la BNF pour la deuxième journée du colloque Les métamorphoses de l’œuvre (…)
Aujourd’hui, rien. Ou si peu. Faire ce que font les bêtes. Manger, dormir, se demander pourquoi tant de terre dans (…)
Souvent des obsessions, non, des fixations au réveil, et ce n’est pas un problème d’être bombardé d’idées fixes (…)
Dans le rêve, tu partais dans les montagnes et tu vivais de marche silencieuse, d’abandonnement systématique, de (…)
Il fait 18 degrés celsius à huit heures du matin et 25 degrés celsius à trois heures de l’après-midi, ce qui se (…)
Il faut 16 minutes à vélo pour rejoindre le laboratoire du bled d’à côté, qui est à côté de l’église. Bien sûr, le (…)
La dernière fois que j’ai renversé mon maté comme ça, par maladresse, un lapin est mort. Il y a de moins en moins (…)
J’ai perdu le fil de ce que pèse le Loup, dis. C., elle, pèse 71 jours. Elle en est à faire des sourires. Le chien (…)
Quelqu’un fait du porte à porte dans tout l’immeuble pour laisser des RAR. Maintenant tu signes avec le doigt. (…)