Il y a toute une partie de Eff, un genre de récit dans le récit, qui en réalité ne doit pas apparaître. Il doit exister, mais exister hors champ. C’était important de l’écrire, mais on ne doit pas le lire. Certains passages sont plus inspirés que d’autre, ce qui n’a, par conséquent, plus aucune importance. L’autre jour, je me disais : ce n’est pas pour Eff, ça, c’est pour Grieg. C’est vrai que certains passages pourraient très bien s’y retrouver. Aujourd’hui, ce n’était plus pour Grieg, c’était pour Bajir. Ça arrive. Même chose concernant ce travail à effectuer pour rendre le backoffice de Spip confortable comme machine d’écriture connectée. En réalité, c’est tout un bins de modifier l’apparence de la zone d’administration. Je ne trouve d’ailleurs pas de squelettes pré-établis pour cette partie privée du site. Et tous les plugins que je vois (comme par exemple, "Rendre Spip moins osbéquieux" (!)) concernent des versions antérieures de Spip. En fait, depuis Spip 3, on a a complètement verrouillé les possibilités de paramétrer facilement l’espace privé. Comme si ce n’était même plus une question. En réalité, il faut ajouter ce qu’ils appellent un pipeline pour charger une autre feuille de style personnalisée. Ce n’est pas compliqué. Mais il faut le savoir (et ça ne résout pas tout). Par contre, il convient de comprendre quelles sont les zones qui m’intéressent à redéfinir dans la CSS : pourquoi par exemple textarea peut définir le fond de l’espace où j’écris (que je veux voir sombre) et pas la police d’écriture ou l’interligne, qui eux sont déterminés par editer_texte ? Mystère. Quand soudain : et si je mettais à concevoir des t-shirts poétiques ? C’est une vieille envie. Sauf qu’un tee-shirt de 250 grammes requiert environ 2 500 litres d’eau. Alors, à la place je pourrais faire la liste des trucs que j’abhorre. Par exemple, j’abhorre le bruit des feuilles qu’on souffle, j’abhorre les urinoirs, la lumière du soleil, les mecs (ce sont toujours des mecs) qui te tutoient dans les food-trucks, les aspirateurs Dyson ¹ et les fraises Tagada. Je crois que c’est le pire aliment au monde, encore que, ainsi que je l’explique à H. de retour d’un autre Spiderman encore au MK2 Bibliothèque (je n’abhorre pas Spiderman, c’est même précisément le contraire), au niveau de la texture, ça doit se vomir bien.