Dans le rêve, Paris s’effaçait de plus en plus ; au fond je ne me sentais plus chez moi que dans ma salle-de-bain. Dans Guerre et paix, au moment de la prise de Moscou par Napoléon, on vient demander au gouverneur de la ville que faire des pensionnaires de la « maison des fous ». Voici sa réponse : Qu’ils partent, qu’ils partent tous, et qu’il lâche les fous dans la ville ! Puisque nous avons des fous qui commandent les armées, il est juste que ceux-là soient aussi rendus à la liberté. Chez Joyce l’expression to quaff the nectarbowl (se murger au nectar ?). Tapotant au cul de la bouteille pour récupérer les dernières gouttes d’huile d’olive : this is the end my friend. À l’insecte velu qui approche bruyamment le vélux : tu n’es pas le bienvenu ici. Poliment il repart. Dernier point j’imagine sur Le loup avant de clore le récit : 82 500 mots. La pluie d’hier, attendue aujourd’hui : finalement rien n’est venu.