Trois nouveaux envois de Basalte. Le seul éditeur qui me semble pouvoir accueillir ce texte, je ne le lui envoie pas. C’est idiot. C’est comme ça. Mais l’éditeur auquel je pense n’est l’éditeur auquel je pense que parce que deux personnes m’ont dit, un jour, tu devrais l’envoyer là. Alors c’est doublement idiot. « Cloudland » fait une cinquantaine de pages dans le traitement de texte, et j’entends bien en avoir relu au minimum la moitié d’ici la fin du week-end, pour pouvoir finir le tout d’ici huit jours. Il m’arrive de passer tellement de temps sur une page que l’écran de la tablette sur laquelle le texte original est projeté se met en veille. C’est soit signe que je travaille beaucoup, soit que je travaille peu. La plupart des pensées que je pense, j’aimerais les remplacer par d’autres, à commencer par des que je ne pense pas. Par exemple : tiens, si on regardait Concarneau - St-Etienne (non) ?