Cette fois, c’est un canard femelle qui s’arrête à une intersection du square pour me laisser passer, comme répondant à l’injonction d’un petit panneau stop, lequel serait visible à sa hauteur mais non à la mienne. Après que je me suis engagé, elle reprend sa marche en se dandinant, puis elle cancane. Le SDF qui dort à même le sol, sur l’aération du métro, sans guerre de duvet, sur une zone du trottoir non abritée, est toujours au même endroit depuis des semaines. Peut-être, mais la reine Silvia et la princesse Victoria ont coiffé leurs coiffes napoléoniennes pour [recevoir] les Macron. Malheureusement (ou heureusement), dans l’article Faut-il instaurer une taxe « lapin » ?, il n’est question que des consultations médicales non honorées ; mieux vaut opter plutôt pour Le traitement algorithmique des émotions du travailleur. Non, à choisir, j’aimerais encore mieux lire Owls do cry, de Janet Frame, qu’Anne m’a recommandé il y a maintenant un an, sept mois et vingt-et-un jours, livre au cours duquel on peut lire la phrase even the sun travels from dark to dark and I am not the sun. Yes, even the sun.