Presque rien. Cet EP de Blonde Redhead, 3 O’Clock, c’est mon seul bonheur, là. Et notamment ces lentes instrumentales qui finissent les morceaux mélancoliquement. 898 mots en partie sur ça. Et parce que le Molloy numérique que j’ai numériquement emprunté via PNB car T. m’en a parlé samedi avant Londres n’est pas viable sur la Kobo, probablement car il est mal codé et pas pensé pour de longs paragraphes, j’en suis à le lire sur l’iPad, il y a des années que je n’ai pas lu sur l’iPad, et en (…)