Je termine doucement le GEnove de Benoît Vincent : j’ai pris un temps interminable pour le lire et c’est un luxe accordé à moi-même que ce temps. Je connaissais presque tout de ce livre déjà pour avoir beaucoup lu et écumé la version web initiale, mais c’était ne rien connaître du tout de ce livre recomposé, réinventé ici. C’est une ville avec ses recoins et ses strates, temporelles, géologiques, d’odeurs et de saveurs (c’est un livre qui donne faim). Une ville épuisée dit le sous-titre, en (…)