Je suis une ville dont beaucoup sont partis enfin pas tous encore mais ça se rétrécit. Et toute la ville autour de nous, les parcours sont bien dessinés. C’est surtout un trou au milieu de la ville dans lequel on s’enfonce avant de revenir à la surface. Je suis une ville qui ne se voit pas ailleurs. Écrire la ville c’est marcher dans ses rues et savoir s’y perdre. Jouer avec la vitesse et tous ceux que l’on rencontre. Celui-là qui s’y voit mais à qui ça fait peur. Et celle-là qui ne sait (…)