C’est encore le direct de 12h13. Entre Lyon et Paris, lire la seconde moitié des Soldats de Salamine 1 sans m’arrêter, même si c’est un livre qui me parle peu. Il y a un micro-climat sur la gare de Lyon, du soleil, une lumière oxydée comme l’écrit Cercas qui s’irise sur le verre des fenêtres dont on suppose qu’elles ont été mouchetées par les gouttes de pluie un peu plus tôt (d’ailleurs l’asphalte au sol en est encore brillant de ça). Je commencerai dans la foulée Le docteur Jivago dans la (…)