J’ai du mal à me concentrer, là. Je suis en train de faire mille trucs quand soudain
Rilke. C’est une respiration dans ma journée de hâte et de pixels. 554 mots pour Eff, toujours sur cette salive. Sur l’onctuosité d’une forme de désir urbain et ruisselant sous cette pluie des villes. C’est écrit sur Still Corners. Et la chanson The trip est en osmose avec le minuteur du four dans quoi cuisait une tarte féta courgettes je crois.