J’ai oublié le code d’ici. De chez moi, je veux dire. Pas celui qui donne sur la rue, celui du bâtiment. Et des gens à mes yeux inconnus me disent bonjour dans la cour intérieure. Comme je suis poli je réponds. Mais je mettrai huit heures à sortir de ce trou. J’aurais pu dire bader, j’ai préféré cette métaphore minière mais aussi aquatique quelque part. Je me comprends. C’est bien de se comprendre. Ces dernières semaines, nous étions plus ou moins à l’abri de la chaleur mais là, de retour à (…)