Je sens la cheminée du Pouchla. Le Pouchla ne s’appelle plus le Pouchla mais nous l’appelons encore le Pouchla, avec T., quand on s’y retrouvera. Il faudrait dresser une carte (c’est devenu facile, dresser une carte) d’un Paris mais de l’envers, y recenser tous les lieux, toutes les rues, où je n’ai jamais mis les pieds, même après X années à y vivre et, ou, à y travailler. C’est un truc venu à Tokyo : ne pas profiter assez de Paris. Pas profiter au sens d’aller au théâtre ou aux Galeries (…)