Je sors du boulot, je sais que cela fait trois jours que je n’ai rien écrit ou presque puisque mes jours changent, puis je m’assois contre le plastique-mosaïque et lit une quinzaine de pages de Kafka en attendant mon train. Je le lis écrire que cela fait trois jours qu’il n’a rien écrit, que son boulot, etc. Puis je m’engouffre dans le RER et le reprend, le bruit se diffuse tout contre moi, et je le vois plaqué sur son bureau, mon bruit moderne diffusé jusque sur lui, par vagues opaques des (…)