On lit quand même des trucs assez fous dans Les Échos (sic). Concernant Amazon, et notamment la vente de livres d’occasion, les éditeurs (et combien sont-ils en proportion à ne pas payer ou mal les droits d’auteurs ?) s’insurgent : « le chiffre d’affaires de l’occasion échappe au droit d’auteur ». N’est-ce pas délicieusement comique ? Ce qu’il faut comprendre en réalité ici, n’est-ce pas plutôt : « le chiffre d’affaires de l’occasion échappe au nôtre, on voudrait réellement payer les droits (…)