En lisant La centrale, d’Elisabeth Filhol, que N. m’a offert l’autre jour, j’apprends qu’il existe un risque croissant d’exposition des extrémités — mains, pieds, chevilles, avant-bras — aux rayonnements ionisants. Je ne sais pas trop à quoi cette information va me servir, mais je sens qu’elle se montrera utile, dans l’écriture, un jour ou l’autre. Ce genre de pressentiment devrait porter un nom. J’ai complètement abandonné t. Mais je rattrape lentement mon retard sur Ulysse. De -50 à -37 en (…)