Il ne faut pas sous-estimer la conscience des bêtes. Poulpir et Tartelette sont revenues de la clinique vétérinaire indemnes, vivantes, en plutôt bon état comparé aux précédentes opérations. Ou bien est-ce notre appréciation d’elles qui a changé, notre regard ? La technicité des personnels soignants de la clinique qui s’est améliorée en quelques mois ? Ou encore (et c’est là que la conscience entre en jeu), ont-elles encore en tête, littéralement, la mémoire d’une opération précédente, et (…)