J’entends H. dire : les textures sont DÉGUEULASSES. Je ne sais pas à qui il parle ni de quoi. C’est le truc avec le téléphone, tu n’entends que le recto sans le verso ou le verso sans le recto, et sans jamais savoir qui recte et qui verse. Je crois que si moi je tergiverse autant sur la question de l’identité graphique de Grieg, c’est que je veux convoquer des énergies contradictoires. Que ce soit lisse, mais qu’il y ait de la matière. Que ce soit épuré, mais riche. Que ce soit un pur noir (…)