Il faudrait pouvoir travailler sur la notion de rushs. Pour un projet X ou Y, tu te livres à un premier jet volontairement très volumineux. Je pense à Eff et à ses 500 000 mots (comment ne pas y penser ?). Cette matière, tu la retouches le moins possible, le strict minimum : corrections, rendre le texte lisible. Ensuite tu confies ces rushs à X personnes différentes (minimum deux), auteurs aux parcours variés (romanciers, poètes, nouvellistes, éditeurs, etc.). Chacune de ces personnes a (…)