Il m’est venu au petit-déjeuner que Basalte pouvait tout à fait s’appeler Trilogue. Je veux dire, ça aurait du sens. L’éditeur contacté ce week-end m’en a accusé réception mardi, soit déjà plus d’interaction que l’ensemble des éditeurs contactés depuis le début de l’été. J’ai le sentiment d’avoir dépassé ma date de péremption. J’ai eu ma chance à un moment donné, avec les bons contacts, aux bons moments, mais j’ai mis trop de temps à m’en servir, et désormais j’ai raté le coche. J’ai fait (…)