J’ai tiré Féroce à 300 exemplaires, ce qui est à la fois beaucoup et peu. Je nous estimais en capacité d’en vendre 100 sur la totalité de la vie du livre. Aujourd’hui, moins de six mois après la parution, le centième exemplaire vendu est parti à Liège (Belgique). Un peu moins de la moitié de ces ventes sont consécutives à l’article de Guillaume Lecaplain dans Libération. 60% d’entre elles l’ont été en librairie, pour une faible part en dépôt de plusieurs exemplaires et en majeure partie à la (…)