Bien que toutes les nuits ne se valent pas, chaque nuit est une nuit. On m’a dit hier que, pas loin de là où nous vivions quand nous vivions à Paris, dans les appartements de la rue des Fonds-Verts, les murs vibrent lors du passage des trains. Je développe un genre de fascination étrange pour la rue des Fonds-Verts, sorte de triangle des Bermudes est-parisien entre la place Félix Eboué, plus communément appelée Daumesnil, l’église de Notre-dame-de-la-Nativité de Bercy, suffisamment (…)