Sur les 1500 et quelques pages de son Journal tel qu’édité par Gallimard en 2009, pas une seule fois Valery Larbaud ne fait mention d’Auguste Morel. Du moins, si on se fie à l’index final (et pourquoi ne pas s’y fier ?), vu que cette édition n’est pas trouvable en numérique pour une recherche plus automatisée. Des allusions à Joyce, il y en a, mais finalement assez peu, soit pour noter ici le versement de ses émoluments on imagine pour la supervision de la traduction d’Ulysse, soit qu’il (…)