En vérité, ce livre pue tellement qu’il me suffit de le parcourir quelques minutes pour tousser une demi-heure. Le ratio n’est pas bon. Je finis par l’enfermer dans un sac avec une rasade de bicarbonate de soude, que je dépose dans le garage en avertissant H. : quoi que tu fasses, n’ouvre ni ne déplace ni ne bouge ni ne touche ce sac, il en va de nos vies, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il s’imagine le sac contenir un genre de viscosité lovecraftienne. Aujourd’hui est censé être pire (…)