269 ancres, et autant de liens vers ces ancres, à coder à la main, cela fait 538 interventions. À force, on risque la dyslexie de chiffres, l’embolie de lignes. Sans compter le temps passé. Il ne m’a pas échappé qu’une IAG n’aurait eu besoin que d’une poignée de secondes pour générer ce code. En revanche, je n’ai pas pensé qu’il était tout aussi simple de confier la production des lignes à un pauvre tableur excel. L’automatisation des tâches au carré nous amène à oublier que nous avions déjà (…)