Partout le sable. Derrière mes deux paires de lunettes mises l’une sur l’autre, derrière mes yeux. Et ici : au dos de mes deux mains foutues dessous le crâne, compact et sec où tombent nos ombres. Superposé dessus, penser ce soir : après avoir traduit quelques lettres d’Overqualified j’écrirai la mienne propre, english cover letter pour un job que j’ai vu. Je m’exécute sur le dernière album de Beak> qu’Alban Orsini m’a fait découvrir. Voilà, ça c’est le web. Me permet d’écrire les mots (…)