Des putain de douleurs cervicales au réveil mais ça va : suffit de pas trop pivoter la tête à gauche. Un peu plus tôt ou tard, je termine Toi au moins. Après le livre et la postface il y a un truc qui s’appelle « Journal de bord du traducteur » qui te permet de voir : de voir comment le texte a pu glisser d’une langue à l’autre. C’est la littérature avec l’échafaudage encore dessus, ça permet de savoir comment le texte (et, au-delà du texte, la langue qui le porte, l’habite) tient debout. (…)