Il pleut. J’ai ouvert David Lang. Une quatrième pour L’appel de Londres. Mais je ne peux pas aller au bout des traductions d’I loved you more, comme espéré, et je peine à reprendre le Transoxiane quatre dans le bon sens. Je préfère encore aller courir et le tourner dans ma tête autour du lac. C’est de la procrastination du coup.
L’appel de Londres est à la fois géographique et musical : au prétexte d’une visite de quelques jours, Philippe Castelneau élabore un journal de ses déambulations (…)