J’écume une bonne douzaine d’incipits de romans dans l’espoir de commencer quelque chose de neuf. Une lecture qui, comme toute lecture à l’orée d’elle, avant qu’elle ait pu commencer donc, promet ni plus ni moins que de changer ma vie. Là, c’est déception sur déception. Je suis sans pitié. Je lis une phase, deux, trois, et ça ne marche pas. Ça ne prend pas. Pourquoi ? Parce que ces premières phrases, pour des romans essentiellement de langue anglaise, sont des parodies de première phrase. (...)