Désormais tu n’es plus, ô matière vivante / Qu’un granit entouré d’une vague épouvante.
De l’écume de Baudelaire en surface du Numéro six de Hervé Bouchard
Ce qu’a écrit Laia Jufresa dans sa chronicle de dimanche : c’est précisément ça que je souhaiterais qu’on dise de moi en pareille circonstance. « El ritmo impecable de Guillaume Vissac. »
Vie grise, sous la pluie, sous la pluie métaphorique du quotidien craché, la pluie des voix rageuses dans le casque du tel, la pluie de regards (...)