Tu regardes le film La route tiré du roman de Cormac McCarthy, mais ce n’est pas réellement La route : c’est une adaptation bis qui s’écoule dans le rêve. Dans cette version parallèle, des tempêtes de sable s’abattent sur le père et son fils (et on la voit venir de loin). Dans cet autre rêve minuscule, le diable est allongé sur la canapé du salon et il te dit : « c’est bon, je le lirai plus tard ton bouquin ».
Tu as traversé le jour comme on traverse une ville : en apnée pratiquement. Le (...)