Entendant vrombir les vibrations du métro depuis le studio de la rue S. je me dis : ça y est, je n’entends plus vrombir les vibrations du métro, désormais. Je suis habitué. C’est fréquent dans les rues qu’on me demande où est-ce (le métro). Comme je sais tout de tout des lignes et de leurs bouches par ici je réponds. Ailleurs, je saurais moins. Mais ailleurs, on ne me parle pas. Au bureau en passant dans un couloir ouvert, j’entends quelqu’un dire au téléphone, à l’attention j’imagine du (...)