J’étais au U, j’écoutais For Bunita Marcus quand à un moment bien précis, un intervale de quoi quarante secondes tout au plus ?, il y a cette magnifique perspective qui s’est ouverte dans le son. On pourrait se trouver peiné que j’écoute For Bunita Marcus pendant quelque chose d’aussi trivial que des courses, mais fort heureusement personne ne le sait. Je le garde pour moi. Mais impossible de retrouver ce passage malgré mes efforts. Comme si je l’avais rêvé. Tout ce que je sais, c’est que (...)