Je trouve ces instants, ceux découlant des dernières heures du film, le film Melancholia, prolongeant le dénouement choquant, le premier générique muet, silence mat, ces instants je les trouve mais oui mais intenables, et voir couler sous mes semelles les marches d’escalier, et courir les couloirs tout autour de mes bras, et les sièges couleurs vives et les néons pour ébrécher la nuit, et les iPhones qu’on réembranche, et les messages d’appartements éteints, jamais plus ouverts à location (...)