Des trois films vus cette semaine (Kaboom mardi, A Single Man jeudi, Into the Wild hier), lequel le plus propice à me propulser vers une fuite fictive mais concrète ? Lequel de ces trois corps le mieux armé pour disparaître ? Thomas Dekker, Colin Firth ou Emile Hirsch ?
Et surtout pourquoi moi, l’oeil à l’envers de l’écran, choisirais encore d’y voir la fuite, dans ces trois trajectoires et pourquoi elle me fascine ? Je l’écris comme je le pense, en surexposition aux 2’24 de Cocoon : I (...)