Le plus marquant dans Chainsaw Man, ce ne sont pas les tueries ni la violence : c’est la façon dont on se sert des tueries et de la violence pour mettre en valeur, entre, des moments d’une grande délicatesse. À ce titre, le volume 9 est particulièrement abouti. Ce qui me gêne, c’est le nombre de personnages et leur faible capacité à rester en vie assez longtemps pour qu’on sache qui ils sont, ou pour qu’on puisse ne serait-ce que les différencier les uns des autres. Fin de la récolte de (...)