Levé 5 h. Il pleut en noir sur noir dehors, bientôt ce noir m’enduit. S’il me macule, tache après tache, c’est que je suis dessous. Mon premier train, qui est un TGV, malgré les annulations et les suppressions de dernière minute, est cher mais pas plein. Le jour met des heures à lever et c’est dystopique. 18° à Hyères (dixit une radio quelque part), c’est dystopique. Traverser un champ d’éoliennes dans la brume qui clignotent toutes au même moment, c’est dystopique. À Bercy je poste (...)