L’écriture = la tonte d’un arbre ou d’un arbuste au sécateur. Toujours on croit harmoniser la forme quand on découpe, mais le plus souvent on coupe trop, alors pour harmoniser on coupe plus, ce qui nous amène à plus couper encore, car ce n’est jamais à l’équilibre tout ça, c’est sans fin. Lorsqu’on s’arrête, plus lassé que content il faut bien le dire, on réalise avec le recul qu’en réalité on aurait dû ratiboiser bien plus, trois ou quatre fois plus, s’en prendre à toutes les branches, à (...)