Plus expéditif que le Yi King : dire non à tout. C’est certes plus radical, mais c’est aussi plus rapide. Je devrais ponctuer mes réponses de la mention car pendant ce temps-là, je n’écrirais pas, et personne ne le fera à ma place. Ce qui est bien sûr idiot car je n’ai pas besoin de me justifier auprès de rien, juste à faire ce que je suis censé faire (et puis, du reste, des tas de gens le font effectivement à ma place, écrire, mais chacun de son côté bien sûr). Avancer. Tâcher de. Je n’avance pas. Ou très lentement. Du moins, dans la recomposition des pages du journal, et notamment sa subdivision en années. Tous les articles sont désormais normalisés au niveau de leur titre, et les premières années (jusqu’à 2012) sont reclassées. Ensuite, si je veux m’appuyer sur le dispositif du plan simplifié de Spip, je ne peux pas faire de glisser-déposer avec trop d’articles à la fois. Une douzaine, c’est bien. En fait, jusqu’à une trentaine maximum. Au-delà, tout plante. Alors je fais ça par jour ou par année ? Les deux en fait : d’abord, tous les 31 de 2013, puis de 2014, etc. C’est long, mais enfin j’en fais une vingtaine de minutes au quotidien et en quelques semaines, ce sera sans doute absorbé. Ce n’est pas écrire à proprement parler, ça, et j’en ai conscience : c’est (tâcher de) mettre les conditions nécessaires pour le faire.