Que c’est terrible découvrir que ce rythme parfait de nos mots, celui contre lequel on s’est raclé la peau les yeux à force oui cette langue de presque trop la travailler, découvrir que ce rythme est un autre genre de tempo huit ou bien douze pieds, saloperie d’octosyllabes, alexandrins, que quarante milles mâchoires au moins, avant la nôtre, ont mastiqué. Je crois savoir que le livre A portrait of the artist as a young man, de Joyce, est une réécriture du Formation de Guyotat, voilà (...)