...si le film de mon quinze avril devait être joué-forcé, ce serait un orage de nuit d’abord grêlé depuis les toits et noircis tout autour de la fenêtre ; et la main de derrière qui arrache mon sac puis s’enfuit à l’envers de l’escalator dans mon dos (voleur immobile à jamais piégé par sa fuite) ; et la voix crachée-pleurée de cette femme dans le combiné du téléphone qui dit hystérique c’est impossible vous devez faire quelque chose vous êtes obligé d’arranger les choses obligé si vous (...)