Et cette chanson en gros je l’avais grossièrement oubliée, dommage puisqu’il s’agit de la seule chanson d’Arcade Fire que j’aime vraiment, capable de l’écouter vingt fois de suite malgré les répétitions. Puis de cette chanson vers des instants régurgités comme une éponge. Je me rappelle un air qui me trotte en tête et le contexte de leurs écoutes importantes se libèrent. En l’occurrence dans une rue de Morlaix sous le crachin breton.
Je marchais sec sur les pavés d’une rue piétonne au (...)