Je ne cesse de répéter dans ce carnet de bord que je ne suis pas un bon donneur de titres. J’en suis rarement satisfait ; je les attrape au vol et les fixe dans la foulée par pure haine de voir un fichier anonyme, un dossier-point-d’interrogation. Alors je trouve des titres provisoires, rarement fameux, et à force d’habitude, de provisoires ils passent définitifs. Pire encore pour les titres reliés au recueil-à-venir sur Careysall, forcés de se limiter à un mot, ce qui entrave bien (...)