Maintenant, c’était lui qu’elle étudiait. Il s’abandonnait aux légères secousses de la voiture, sa redingote déformée par ses larges épaules, son chapeau mal brossé, gardant les marques d’anciennes gouttes de pluie. Elle se souvenait d’avoir, le mois précédent, acheté un cheval à un maquignon qui lui ressemblait.

Zola, Son Excellence Eugène Rougon, Les éditions de Londres

Être parvenu, par la chimie, à retenir la tête hors de ma tête lundi, la voilà ma victoire. Me suis aussi lassé des titres. Dorénavant mettrai la date. De là, peut-être, commencer un vrai journal ? J’ai chopé cette phrase, amusante (ressemble-t-il au cheval ou au maquignon ? le cheval), dans Son Excellence, ainsi que tout un passage sur "l’anoblissement démocratique". En revanche ne sais plus où j’ai pu lire, lapsus-lire, qu’il (et qui que soit ce il) "mâchait ses dents blanches". Reçois un mail, pro le mail, contenant une photo retouchée de François Hollande aux côtés de Mohamed Merah, lequel est qualifié par l’auteur de ce truc de "mouloud au scooter". Le mail appelle à une espèce de djihad à l’envers. Week-end hier, de l’insatisfaction. Réécris aujourd’hui le passage XACAA8 (GlaukHaus n°88), hier trop fade, force le trait, ça marche. Le dossier postapocalypse : un ajout (le Mexique).