Rêves pénibles et anxiogènes (des noyades, des coups de poing dans la gueule, du sang, des grands lofts pleins de parole haut de plafond, des monologues en vue panoramique, des accidents de voiture, des histoire de rupture insoluble). De l’immobilité. Perdu deux heures de taf à cause de Libre Office. Ce que je retiens, c’est pas tellement la colère à l’heure H mais l’impression de prescience qui en découle lorsque l’heure suivante tu refais, chaque geste après l’autre, le même parcours, calqué au précédent, pour que tout soit identique. Un œil sur un énième Woody Allen à n’être pas un grand quelque chose, l’autre sur cette équipe du Genoa pour une nouvelle aventure sur un banc de pixels. L’équipe de départ tient la route, elle est même séduisante, juste cette invraisemblable absence de solutions de repli au milieu. Pour ces raisons on recrute malin des joueurs libres : Sulejmani, qui pourra aussi dépanner dans l’axe, et Frei, relayeur multitâches.