Je n’ai aucune envie de rêver de Chainsaw Man, dont le générique dit à la fois Je veux des jours heureux / Et pouvoir clamser en paix et I love you / Parle-moi mal , mais de Pochita si. C’est bien la première fois que je suis attentif aux paroles d’un générique. On annonce en caps lock une rencontre autour de la poésie polonaise. Je relance deux candidatures pour deux jobs auxquels j’ai postulé : l’un bien payé mais relou, l’autre sympa mais mal payé. J’avance à mon roman sans titre. J’ai de plus en plus de titres dans ma liste de titres. J’ai déversé l’ensemble des feuilles volantes dans mon fichier odt et là tout est plus clair. Ce qui s’enchaîne, ce qui ne s’enchaîne pas. Ce qu’il faut supprimer, ce qu’il faut mettre de côté. J’en ai encore pour quelques jours pendant l’OST de Portal Stories. Je pense : dans Legend of the Galactic Heroes, cet officier dans l’espace écrase un gobelet jetable après en avoir bu le contenu, comme si les vaisseaux amiraux étaient réapprovisionnés régulièrement en quelque chose d’aussi prosaïque que des gobelets jetables. Je pense : le site ER Fandom s’inquiète de ce qu’aurait pu devenir le Joshua Carter Center (fictif) après la fin de la série, suite aux conséquences de la crise dite des subprimes : Financially, the post-2008 recession could potentially threaten it as the state of Illinois may be forced to scrap budgetary costs. En moins de vingt-quatre heures, j’ai vu la même blague dans deux vidéos différentes, la première fois drôle, l’autre pas. Adán Buenosayres ¹ : Il s’en va, touchant les murs mouillés, les seuils froids, le bois des portes, le fer des balcons. Plus loin : Intime est la rue, abstraite la rue, la pluie ne commence ni ne finit.